Aujourd’hui, j’ai envie de partager un truc personnel avec vous (« comme si tout ce que tu partageais sur ce site n’était pas perso » – « bon ok, un truc perso de plus alors »)
Hier soir, j’ai éteint la lumière avec la demande suivante : « Dis mon ange, comment tu t’appelles ? »
Je venais de relire le début du livre de Marina Bougaïeff – Communiquer avec son ange gardien et kiffer sa vie ! Je dis « relire » car je l’avais arrêté au premier tiers lorsqu’il était question d’applications pratiques. (Pourquoi avais-je arrêté, moi qui suis la première à engager autrui à tester, à essayer, à mettre en pratique ? Pudeur ? Gêne vis-à-vis de moi-même ?) (« rhooo… j’vais pas parler à un ange quand même ! ») Bref, je l’avais mis de côté, en bonne place sur ma table de nuit quand même (des fois qu’il veille sur moi l’air de rien) et je passais à autre chose.
Sauf que ces derniers jours, je l’ai repris en main, un peu par désœuvrement, un peu par besoin de me sentir moins seule au moment du coucher. Par envie de communiquer avec quelqu’un aussi. Car lorsque je lis, je me sens pénétrée de la pensée de l’auteur et s’ensuit alors entre moi et moi – entre l’auteur et moi – un échange des plus enrichissants. Je me sens réellement moins seule, connectée à la pensée d’autrui. (la bibliothérapie n’est pas qu’une idée).
Donc je me remets à lire les premières pages avec l’idée de poursuivre jusqu’aux exercices pratiques. Je me sens seule, j’ai besoin de me sentir épaulée – parce que c’est bien beau les plumes par-ci par-là (qui sont la manifestation de leurs « coucou je suis là ») mais ça ne fait pas avancer le schmilblick. Alors je me dis « ok Ginette, vas-y, joue le jeu à fond ! » A fond avec les anges.
Je confesse que je crois aux anges now… keuf keuf… Je confesse now ; et j’y crois now. (c’est dur de le dire, là devant vous, sans passer pour une allumée, surtout que je veux mettre encore le pied dans les entreprises, monde rationnel…) (Qui va me prendre au sérieux now après un tel aveux ?)
Je crois aux anges
J’ai fini par croire aux anges depuis la lecture de ce livre, qui m’a bouleversée au plus haut point tout début 2005, et qui ne cesse d’agir sur moi et en moi depuis. Je parle de cet ouvrage devenu livre culte pour moi, livre de chevet pour de nombreux artistes (qui en parlent dans leurs interviews). J’ai nommé : dialogue avec l’ange. Document recueilli par Gitta Mallasz. (elle ne se dit pas « l’auteure des Dialogues mais le scribe des Dialogues »).
J’ai lu et relu au moins une dizaine de fois les « dialogue avec l’ange » et je n’ai pas de nom pour décrire tout l’amour qu’il suscite en moi, et la révérence que j’éprouve envers ces anges. Vénération. Gratitude. Et impuissance à être à la hauteur. Si je ne devais emmener qu’un seul livre sur une île déserte, ce serait celui-là. Oui, ce livre m’a scotchée. Je ne pouvais pas l’annoter, moi qui suis prompte à dégainer un crayon pour entremêler mes pensées à celles de l’auteur. (j’y vais même au stylo et au fluo sur certains livres depuis tant j’ai pris d’assurance vis-à-vis du papier-sacré).
Avec ces dialogues, impossible de lever le petit doigt pour tenir un crayon. Je ne pouvais pas écrire mes réflexions parce que je ne pensais plus. Je découvrais et j’étais submergée par la puissance des réponses de l’ange. Par des évidences qui m’allaient droit au coeur – sans en comprendre un traitre mot parvenu à la moitié du livre. J’étais soufflée par tant d’énergie. A la moitié de l’ouvrage, je ne comprenais plus rien, trop ésotérique sans doute pour le mental. Mais j’ai poursuivi sa lecture, faisant confiance à mon subconscient pour enregistrer l’information et la traiter au-delà de mes capacités rationnelles.
Une fois terminée ces dialogues, je m’y suis replongée. Trop bon ce compagnon fort et puissant qui vous bouscule, vous parle de Monde Nouveau auquel vous aspirez tellement vous-même de toutes vos forces ! Parce qu’en 2005 je vivais une crise spirituelle majeure (j’en prendrais conscience plus tard). J’avais besoin littéralement de cet ange à mes côtés, de sa force, de ses convictions, de ses injonctions même. J’ai donc repris illico sa lecture et là, les choses ont commencé à s’éclairer – ou s’éclaircir. J’étais familière du ton, du style et des propos de l’ange. Je commençais à pénétrer ses intentions et ses révélations. Et j’étais toujours subjuguée – sous le poids -, écrasée par la puissance de ces dialogues. Je me sentais petite et insuffisante. Trop dur de devenir humaine. Trop exigeant. J’ai pleuré (tiens, je pleure en ce moment-même où j’écris). J’ai souris aussi de joie et de gratitude, j’ai ressenti des choses incroyables, indicibles… Et j’ai cru.
Oui, j’ai cru en cette puissance, en cette formidable énergie qui veille sur nous et qui exige de nous en retour. D’où vient-elle ? Quelle est-elle ? J’ai renoncé à comprendre, j’ai lâché prise et dit « amen ». Non, pas amen, trop connoté religieux. J’ai accepté que ces anges existent et qu’ils soient à notre service. Oui, ils sont là pour nous servir : « demandez et vous recevrez ». [le plus étonnant, c’est que je pratiquais déjà le reiki depuis un an tous les jours et que je ne faisais pas le parallèle entre cette énergie universelle reiki et cette énergie universelle angélique. Une vision du même Monde expliquée en des termes différents, du coup je ne les connectais pas entre eux. Pourtant aujourd’hui, je dirais qu’il s’agit de la même énergie – toujours aussi universelle – issue de la même source d’amour incommensurable]
J’oublie d’y croire
Et puis j’ai oublié que j’avais un ange à mes côtés. Ou plutôt, je n’osais pas abuser de sa bienveillance et de sa force. Je voulais peut-être me débrouiller seule. Trop fière ? Ou bien me faire toute petite comme j’ai toujours appris à le faire ? Pas l’habitude d’être aidée non plus. Pas dans mes réflexes de demander de l’aide autour de moi, encore moins là-haut.
C’est ainsi que mon ego a repris le dessus et j’ai oublié pendant des années à faire des demandes aux anges. J’avais une pensée pour eux (j’ai quelques représentations imagées comme « le sourire de l’ange » en carte postale sur mon bureau), et eux pour moi visiblement, au vue des plumes et autres signaux que je vois sans cesse. Mais de là à dialoguer avec eux, l’idée ne me traversait pas l’esprit. Je n’ai pas eu l’honneur d’être élue comme Gitta Mallasz (#pointedejalousie) et je me serais sentie quelque peu indigne d’aller les déranger. Quant à exposer au grand jour mon Jardin secret à leur propos, ça me parait – paraissait – surréaliste. Croire aux anges relève d’une croyance subjective non démontrable. La mienne ne ressemble pas à l’angéologie classique, avec sa hiérarchie angélique et ses petits noms. Bref, j’ai du mal à en parler. Peut-être même à y croire moi-même. Pourtant j’ai besoin d’eux, l’idée est tellement séduisante ! (un peu comme pratiquer la Méthode Coué qui fonctionne – moi c’est avec les anges).
Aujourd’hui donc je vous montre une partie de mon Jardin secret (cela n’était pourtant à l’ordre du jour en me levant ce matin, qu’est-ce qu’il me prend ?) : je crois à une puissance supérieure connectée à notre être profond – comme cette énergie Reiki (énergie universelle, force d’amour) – qui nous aide et nous soutient à tout moment. Je ne crois pas à cet animal ailé ou à ce bébé joufflu qui volète au-dessus de nos têtes et transperce nos cœurs de sa flèche amoureuse (tiens c’est la Saint-Valentin aujourd’hui…). Quant à la hiérarchie angélique – Anges, Archanges, Chérubins, Séraphins… dans le désordre, et jusqu’à neuf ordres – hum… ça me dérange légèrement jusqu’à me mettre mal à l’aise. Moi pas assez ouverte ? Ou cette hiérarchie pas la vérité ?
Pourtant, quand je lâche le mental, l’ego, je dois dire que cette idée d’ange me séduit au plus haut point ! Je crois en eux et je les aime !
Bon, j’y crois mais sous certaines conditions
Donc, lorsque j’ai découvert Marina qui en parle avec pragmatisme et familiarité – elle côtoie les anges H24 (24h/24) -, sa façon d’appréhender « la chose » m’a séduite : pas d’icônes moyenâgeuses au teint flouté, pas de Saints auréolés (j’ai failli écrire « holé holé ») (auréole que je ne vois jamais d’ailleurs et ça me frustre : pourquoi d’autres les voient et pas moi ? #pointedejalousiebis) Bref, cette auteure nous présente ses potes (« potes-en-ciel » comme potentiel, sic l’auteure) avec fun et kif à donf (traduction : avec beaucoup de plaisir et d’amour). Donc je la suis avec plus de facilité et de fluidité : son discours de bon sens nous les montre avec réalisme et familiarité. Je pourrais presque les toucher ! Ils me paraissent accessibles et beaucoup moins écrasants que dans dialogues avec l’ange.
Donc, disais-je, j’ai repris ce livre de Marina Communiquer avec son ange gardien et kiffer sa vie ! Manuel pratique à la suite de la lecture d’un précédant ouvrage de la même auteure Colorer sa vie avec 50 nuances d’archanges ! manuel pratique. Parce que cette histoire d’ange, ça m’interpelle vraiment. Parce que, depuis la lecture il y a plus de quinze ans des dialogues avec l’ange qui m’a secouée profondément, que j’ai relu au moins une dizaine de fois depuis (les dates sont notées sur le bouquin, j’ai pu tenir un crayon et annoter par la suite), je suis convaincue qu’ils existent.
Donc les anges, ça me parle mais ils ne me parlent pas beaucoup
A part une plume par-ci par-là qui serait leur coucou, à part l’heure que je vois régulièrement sous forme de chiffres récurrents – comme 10:10, 15:15, 23:23… vous voyez l’idée -, les anges sont là (si on y croit) et se manifestent via ces signes, mais ils ne se bougent pas beaucoup pour m’aider ! Or, et c’est là que dialogues avec l’ange revient en force, que Marina en rajoute une couche : « demandez et vous recevrez ! » Et elle rajoute « c’est pas plus compliqué que ça ! » Hé oui, c’est tellement simple ! Encore faut-il s’en rappeler. Parce que j’ai beau savoir qu’ils sont là quelque part dans une autre dimension – dimension parallèle qui n’a pas grand-chose à voir avec la nôtre – j’oublie de les faire descendre dans ma dimension, ou plutôt moi de monter dans la leur.
Et c’est là, disais-je, que me reviennent en mémoire les propos de l’ange :
– « A la demande aide-moi ! L’ange répond demande ! » (page 201)
En fait, ce n’est pas de mémoire que j’écris cet échange mais à partir des post-it rose scotchés les uns sous les autres (eux aussi, mais au sens propre) sur le montant d’une étagère. Je n’ai qu’à tourner la tête à ma droite pour les voir :
– « Là où vous vous arrêtez, appelez-nous ! »
– « Tout se décide maintenant ! » (écrit en majuscules dans le livre)
– « Si vous nous appelez, nous viendrons sûrement » (page 204)
– « La demande est nécessaire, sans demande nous ne pouvons pas donner » (page 202)
– « Donner est un attribut divin » (page 325)
– « Donnons ! Donnons ! » (en majuscules dans le livre)
D’ailleurs, dans la plupart des ouvrages que j’ai lus sur le sujet, il est toujours question de « demander » : « Demander et vous recevrez » dit aussi la Bible. (mais comme je n’adhère pas à la Bible, je ne demande pas. Sauf que là, lorsque l’ange des dialogue nous en intime l’ordre, je suis percutée – oui, je reçois un uppercut comme une évidence qui me frappe au coeur -, et les larmes montent. (mince, je ne vois plus clair)
Demandez et vous recevrez. C’est dur de demander !
Enfin, moi j’ai encore du mal, et je n’y pense pas toujours – à demander quoi que ce soit à quiconque. Et comme le dit Marina, nous sommes beaucoup dans ce cas-là : quoi demander d’abord ? Et puis l’ange a autre chose à faire qu’à s’occuper de notre petite personne. Il y a tant à faire dans le monde !
Bref, j’ai appris à la lecture de ces dialogues, et que l’ange gardien de Marina nous rappelle : nous ne sommes pas seuls. Je ne suis pas seule. Nous ne sommes jamais seuls en fait. Mais qui le sait ? Qui le croit ? Qui l’accepte ?
Alors, disais-je, lorsque je vois un signe d’eux, telle une plume blanche sortie de nulle part (non je n’ai pas secoué un oreiller en plumes d’oie, non je ne suis pas en train de faire une bataille de polochons), je ne peux m’empêcher de leur être reconnaissante : « super les potes-en-ciel (sic Marina), vous êtes là ! Ok, ça me fait une belle jambe mais vous faites quoi pour moi là-haut ? » Parce que moi aussi je sais faire des coucous à ceux que j’aime par messages portablés (sms ou textos si vous préférez) mais je passe ensuite à autre chose. (comme les anges il me semble)
Donc disais-je, je vois des signes partout et je leur suis reconnaissante du fond du coeur d’être toujours à mes côtés mais comment les faire bouger pour ma cause ? Comment faire en sorte qu’ils m’aident concrètement ? En le leur demandant !
Alors j’ai repris ce livre de Marina sur communiquer avec son ange… avant de m’endormir hier soir parce qu’il serait temps que nous discutions mon ange et moi. Oui, il serait temps que nous entrions en grande conversation tous les deux et que les choses bougent concrètement dans ma vie. D’où ma question avant d’éteindre la lumière hier soir : « dis mon ange, comment tu t’appelles ? » Faut savoir que Marina appelle le sien Jérémy… Je ne sais pas quoi en penser alors je m’abstiens de juger. Je lui fais confiance alors je demande pour recevoir. Je verrais bien ce qu’il se passe ensuite. Je fais le vide et je m’endors sereine.
J’ai demandé et j’ai reçu !
Ce matin, réveillée naturellement (sans hurlement de sirène), à peine la conscience revenue à la surface, le premier mot qui me vient à l’esprit est « Peter ». Peter ? Quézaco ? Pourquoi ai-je ce premier mot en tête ? Est-ce parce que j’ai fait du shopping récemment dans une boutique du même nom ? Est-ce parce qu’un monsieur Peter s’occupe de mon « dossier » ? Je me rappelle alors la demande de la veille : le petit nom de mon ange. Je souris vaguement en ouvrant les volets en me demandant si je vais devoir m’adresser à lui sous ce prénom. Hum, qu’est-ce que ce prénom m’inspire… Je fais alors la demande (facile de demander now) d’avoir la confirmation de ce prénom : mon ange se ferait-il vraiment appeler Peter ? Hou hou hou, je m’abstiens de rigoler.
J’oublie cette demande matinale aussitôt après l’avoir formulée et je vaque à mes occupations du matin. Je pratique différents rituels pour me mettre en forme [tiens, je vous en parlerai peut-être, ça ne peut pas vous faire de mal], je m’occupe aussi de mon chat Flocon qui se manifeste avec force ronrons et ronds de jambe.
J’arrive à la cuisine pour le petit déjeuner, l’enceinte Bluetooth sous le bras qui me suit de pièce en pièce, et je m’attable en pensant aux tâches du jour. C’est alors que j’entends une chanson dont le rythme m’est familier. Pourtant je ne connais pas ce chanteur, c’est la première fois que je l’entends. J’ai choisi du blues au hasard sur YouTube et elle en fait partie. Je me mets à la fredonner et finis par empoigner le portable pour lire le titre. Juste le titre, le chanteur ne m’intéresse pas. Mes yeux s’arrêtent sur le titre « Halo (cover Beyoncé)« . Tiens donc, cette chanson que je croyais de LP serait une reprise de Beyoncé ? Je vais donc écouter la version originale de Beyoncé. Tout en agissant ainsi, je m’étonne de ma propre insistance autour de cette chanson. Comme je ne crois pas au hasard, je me demande ce que je dois entendre de cette chanson, et j’affiche la traduction et – Ô surprise ! – les paroles de cette chanson sont …waouh ! très parlantes pour moi en ce moment-même ! [je vous donne la vidéo YouTube plus bas, récompense pour vous si vous lisez jusqu’au bout. Je donne alors recevez]
J’accepte la réponse, même si… heu… j’en espérais une qui me séduise davantage
C’est alors que j’ai la curiosité d’aller voir qui est au-fait-ce-chanteur qui m’a mis la puce à l’oreille. Je le retrouve sur YouTube et je découvre son nom : Peter Katz. What ? Peter ! Houuu toutes ces démarches un peu malgré moi – sans réfléchir – pour obtenir la confirmation de la réponse de ce matin ? Je suis bluffée.
J’aurais préféré qu’il s’appelle autrement, ceci dit. Parce que Peter… Non mais Allô, quoi ! (je vais lui demander de changer de prénom, un qui me séduise davantage, surtout si je dois lui causer tous les jours) (Vous avez vu ? Même plus peur de demander !)
Ah au fait, le truc personnel que je voulais partager avec vous devait se limiter à l’épisode de ce matin :
– comment la réponse à ma question de la veille est venue et, surtout ;
– comment la confirmation de ma question de ce matin m’est parvenue.
J’ai obtenu une autre réponse, une inspiration telle que je l’ai demandée ce matin en fait
Parvenue en fin de journée – et oui, écrire prend du temps et pas celui de déjeuner (je commence à avoir faim) -, je suis étonnée d’avoir écrit cet article d’un seul jet. Il ne couvait pas en moi, contrairement à plupart des idées qui prennent le temps de maturer avant d’être couchées sur papier – sur écran. Je ne pensais pas du tout en me levant ce matin à rédiger un article – bien que j’adore ça et que j’aimerais en écrire davantage.
C’est vrai que j’avais demandé à mon ange (sans l’appeler par son nom, je préfère « mon ange » comme on dit « mon amour ») de me mettre sur la voie de la joie – la voie juste par définition. Je me rappelle avoir formulé – au contact de la descente de lit sous les pieds – la demande de m’inspirer des choses qui me font du bien, qui aillent dans le sens des désirs de mon âme.
Et la réponse est là sous vos yeux : vous lisez plus de trois milles mots inspirants (n’est-ce pas qu’ils sont inspirants ?) Mon coeur fait des bonds de joie et j’adore ça ! Alors merci qui ? Merci Albert ! Non, Peter !
Pour résumer, voici comment cette chanson m’a mise sur la voie de la réponse :
- chanson que je n’ai pas entendue par hasard. En effet, j’ai tellement écouté LP la chanter en boucle pendant des semaines, jusqu’à saturation que je la zappe dès qu’elle apparaît sur YouTube ;
- chanson que j’ai cherchée à comprendre machinalement, déconnectée du mental – parce que si le mental s’en était mêlé, je me serais plutôt dit « pas le temps, autre chose à faire » ;
- chanson que j’avais pourtant entendue maintes fois par LP mais où le hasard a choisi d’autres canaux pour éveiller mon intérêt (si si j’y crois) ;
- chanson qui a servi de déclencheur d’actions machinales de ma part pour me faire tomber sur la réponse ;
- chanson que j’ai entendue distraitement puis écoutée parce que j’étais alignée, au calme face au petit déjeuner alléchant que je me préparais avec plaisir. Donc joyeuse en moi-même, donc connectée à mon intériorité, donc réceptive.
(En fait j’étais carrément proactive. Je suis la seule à le savoir parce que je le ressens de l’intérieur, Être proactif consistant ici à être aligné sur son coeur. Soit dit en passant, vous voyez les cinq suggestions implicites que je vous propose au-dessus pour que vous soyez vous-même proactif.ve ? Notamment à l’écoute de vos intuitions ou autres inspirations ?)
Ma réponse à votre question implicite
Voici donc la chanson (passez les annonces pub – copiez-collez les liens sur votre navigateur préféré) :
- d’abord par la fameuse LP (le fait qu’il y ait dans le titre beyonce cover ne m’a pas interpellée à l’époque) :
- https://www.youtube.com/watch?v=L6X0PqIWfzQ&list=PLaGb4nOIz4xIDnUOWpzvc7GUBEoLet-m6
- Puis par Peter Katz (entendue ce matin par inadvertance) :
- https://www.youtube.com/watch?v=BeMJoRppPDw
- Enfin par Beyoncé (avec les paroles en français et leur sens et signification !) :
- https://www.youtube.com/watch?v=xs6W9TKRDSM
Alors demandez et vous recevrez !
« La demande est nécessaire, sans demande, vous ne pouvez recevoir ».
Capito ?
Et devenez proactif.ve : entrez dans cet état intérieur de recueillement et de vie en conscience pour que la vie vous fasse signe. Car être proactif c’est d’abord être en phase avec l’énergie vitale – l’amour en soi – pour qu’elle vous la facilite, la vie ! Et pas besoin de croire aux anges pour cela !
Je vous souhaite le meilleur,
Nathalie Decottégnie,
La Référente de la Proactivité, Auteure, Conférencière par passion,
Consultante-Formatrice en Expansion personnelle et professionnelle,
Maître-Praticienne Reiki depuis 2004.