Bonjour à tous, il est cinq heures du matin et… je devrais être en pleine forme. Mais ce n’est pas le cas. J’aurais aimé pouvoir dire : « J’ai une pêche d’enfer de si bon matin ! »
J’ai pourtant dormi sept heures d’affilée. (« si t’es fatiguée, vas te recoucher » – « ben non, j’ai dormi mes sept heures, ‘n’y arrive plus » – « tu te couches trop tôt alors » – « ouich mais c’est parce que je tombe de fatigue » – « ben alors ne t’étonne pas de te lever si tôt » – « je ne m’étonne pas de ça – je me couche tôt, je me lève tôt, logique -, mais d’être fatiguée alors même que j’ai dormi mes fameuses sept heures. Y’a un truc qui cloche… »)
Pourquoi suis-je si fatiguée ? « Parce que… »
Après la phase de réflexion du « Pourquoi ? Parce que… », je serai en mesure de trouver le « Comment » pour y remédier.
Se poser la question du Comment, c’est orienter sa question de façon proactive, c’est-à-dire orientée Solution : « Comment dois-je faire pour me sentir en forme ? »
En passant, vous remarquerez la formulation de la question :
– « Comment » plutôt que « Pourquoi ». J’oriente ma question vers les moyens pour y remédier. J’ai ainsi plus de chance que mon cerveau, travaillant pour moi, me trouve LA réponse ;
– avec un pronom personnel Sujet : Je ou Nous ici. J’aurais pu dire en effet : « que faire pour être en forme ? » mais le sujet a disparu, la personne qui pose la question ne s’implique pas. Or, si la personne veut trouver une solution, elle doit faire preuve de volonté et formuler une vraie demande. Après tout, c’est bien moi et mon cerveau (tous mes cerveaux) qui allons trouver une solution possible ;
– « être en forme » plutôt que « ne plus être fatigué » : visez la « bouteille à moitié pleine plutôt qu’à moitié vide ». Vous ne travestissez pas la réalité, vous décidez simplement de la voir « en plein » et vous facilitez ainsi le travail de recherche du cerveau dans sa quête de solution.
Pourquoi suis-je (si) fatiguée ?
Cela peut être du à des journées trop denses, stressantes, qui viennent perturber mon sommeil. C’est vrai que travailler sur la Proactivité me met les neurones en ébullition. Mais pas plus qu’il y a quelques mois lorsque je me suis attelée à ce projet. Et puis je pratique la méditation, la danse, la marche (sous le soleil printanier pour me charger en vitamine D !), la natation. Ces activités libèrent dans le corps des endorphines, hormones de plaisir et de détente. Je sais me relaxer et écouter le niveau de mes réservoirs d’énergie pour ne pas « forcer la bête », donc le problème ne vient pas de là.
Cela peut être du au changement de température – le printemps semble s’installer pour de bon – et / ou au passage de l’heure d’hiver à celle d’été (+1h, ce qui nous fait 2h d’avance sur le soleil). Je sais que cela peut influer mais il me semble que les perturbations nocturnes datent de début avril. En mars, tout allait bien (mon mois anniversaire, j’avais la pêche !)
Cela peut être du au fait de mes biorythmes. Or, mes trois biorythmes – physique, émotionnel et intellectuel – sont en phase ascendante. Je suis donc censée être dans une phase de bonnes énergie. Ce n’est pas ce que je ressens.
Serait-ce du à un excitant quelconque qui m’empêche de dormir sereinement ? Je n’ai pas changé mes habitudes… Je sais qu’il ne faut pas d’excitant le soir (ni thé, ni alcool, ni café, ni autre substance…), ni pratiquer un sport deux heures avant d’aller se coucher et plutôt « dîner comme un mendiant » (manger léger). Je suis « sage » de ce côté-là donc mon souci de sommeil ne peut provenir de là.
Est-ce que je couve une maladie sous-jacente ? Oups. Pour le savoir, j’ai procédé à un bilan médical complet : rien à signaler (à part une allergie visible dans l’analyse sanguine – mince, une intolérance de plus).
Bref, ma recherche (depuis plusieurs semaines) sur « Pourquoi cette fatigue » ne donne rien. Ma question « Comment y remédier » n’est donc pas pertinente. Et la fatigue est toujours prégnante. (Quand je dis « fatigue », c’est un euphémisme pour « lassitude, découragement, limite désespoir. ») Donc il me faut trouver une solution si je veux pouvoir avancer dans mes objectifs au lieu de dormir comme une mammifère en hibernation alors que le printemps est là ! (et je suis inquiète sur mon avenir : qu’est-ce que je vais devenir si je ne suis pas capable d’assurer ?)
Je reviens finalement à la question lancinante du Pourquoi. Je tente de découvrir la Cause Première.
C’est alors que je reçois une News à laquelle je suis abonnée depuis plusieurs mois : le Bulletin mensuel du mois d’avril 2014 de Danielle Clermont, astrologue intuitive et guide de l’âme. Par expérience et par habitude (consciente et volontaire : un rituel donc), je la lis régulièrement. (Merci à vous Danielle pour le travail d’analyse et d’éclaircissement que vous nous fournissez gracieusement tous les mois). Et donc, en lisant son bulletin, je trouve des éléments de réponse à ma fatigue (et à la vôtre ?).
Je vous copie/colle quelques extraits ci-dessous. A vous de faire fonctionner votre bon sens et votre intuition (et débranchez votre cerveau gauche, trop rationnel pour intégrer ces propos) :
– « nous voici au seuil d’un des mois les plus intenses de l’année [avril 2014], voire le mois le plus intense de la période de 2012 à 2015, soit la période des grands changements planétaires propulsés par la quadrature Uranus-Pluton. »
– « Gaïa se manifeste sous la forme de puissants tremblements de terre au nord du Chili, et le Cosmos sous la forme d’une intense activité solaire. Dans les deux cas, ces phénomènes « nous reflètent » que d’importants changements sont en cours au niveau du champ électromagnétique terrestre, donc aussi au niveau de notre champ électromagnétique individuel. Le ressentez-vous ? Êtes-vous davantage sous l’influence de toutes sortes de symptômes émotionnels et physiques ? » [ouich] ;
– « Bien intentionnellement, je répète donc ici une liste des symptômes qu’il est possible de ressentir en lien avec les changements électromagnétiques en cours : Cycle de sommeil perturbé ; rêves intenses ; retour de mémoires du passé que nous croyions à jamais délestées ; hypersensibilité ; se sentir déconnecté, désorienté et confus ; se sentir comme « flottant », en suspension, sans aucune idée de ce dont l’avenir sera fait ; ou, au contraire, être bombardé d’intuitions nouvelles (flash intuitif) ; avoir une vision claire de la nouvelle vie à créer et à manifester / Au niveau physique : fluctuations extrêmes de notre niveau de vitalité; vertige ; nausée; mal de tête et mal au cou ; mal aux dents (un peu comme de la névralgie) ; mal aux os et aux articulations ; problèmes digestifs ; ou, au contraire, une nouvelle force et une nouvelle stabilité intérieures qui facilitent d’aller de l’avant et d’agir les projets qui nous tiennent vraiment à cœur, comme jamais auparavant… » ; [ouich, c’est – presque – tout moi ça] [Aaah, c’est rassurant de savoir que je ne suis pas « responsable » de tout ce que je ressens – parce que je ne sais plus quoi faire pour y remédier -, et c’est aussi rassurant de savoir que, sur la planète, d’autres personnes peuvent ressentir ces symptômes, en phase avec les changements terrestres et cosmiques] ;
– « Je reçois aussi cette image du marathonien à quelques mètres du fil d’arrivée, qui, fatigué, va chercher dans le plus profond de ses ressources intérieures l’énergie nécessaire pour franchir ces derniers mètres. Je crois que cette image est pour nous dire qu’en avril, si nous ressentons un gros coup de fatigue, comme une profonde lassitude au plus profond de notre être, alors, bien sûr, il est sage d’accueillir cette fatigue, de ralentir, de simplifier notre vie et de bien se reposer. Par contre, au niveau de l’attitude : ne pas « lancer la serviette », ne pas abandonner nos convictions profondes, et surtout, trouver en soi la foi et le courage qui permettent de franchir le fil d’arrivée : aller chercher nos récoltes, plus que bien méritées. » [Et bien là, j’ai pleuré. Parce que je me sens tellement reconnue dans cette image du marathonien ! Et le conseil de « tenir, coûte que coûte », tenir encore et toujours parce que ce n’est pas de notre fait si nous ne nous sentons pas suffisamment efficace, ce n’est pas de notre fait si nous nous échinons sans résultat tangible, voire même si nous « paressons » malgré nous. J’accepte mieux cette hibernation et je décide de continuer à respecter mes besoins naturels : mon corps/mon âme sont fatigués ? Qu’à cela ne tienne, je vais aller me reposer, so what ?]
Vous pouvez lire son article intégralement en cliquant sur ce lien : Danielle Clermont, Bulletin MétéoAstro du 04 Avril 2014
(A propos de ce lien, je précise que je n’ai rien à gagner financièrement à vous le transmettre – ce n’est pas un lien d’affilié – si ce n’est le plaisir de vous aider, vous soutenir. En vous aidant, c’est à moi que je viens en aide, nous sommes tous reliés).
Et vous convaincre que nous ne pourrons devenir proactifs que si nous veillons d’abord sur nous et sur tous nos corps. Évitez de vous pousser à la roue, ne vous faites pas violence pour « bouger coûte que coûte ». Il n’est pas nécessaire non plus de vous flageller parce que vous ne « produisez » pas assez… Vous constatez que nous ne sommes pas toujours responsables de nos ressentis, que des choses nous dépassent. En revanche, nous sommes responsables (doués de capacité de réponse) de ce que nous décidons de vivre avec ces énergies qui nous traversent : accepter, accueillir ce qui vient, nous respecter, nous aimer tel que nous sommes. Amour et Respect pour vous-même.
En vous aidant, vous apportez une pierre à l’édifice de ce nouveau Paradigme et vous contribuer au bien-être général (ne serait-ce qu’en donnant l’exemple 😉
Je vous souhaite le meilleur 🙂
Site / blog : www.etreproactif.com
Roman : « toi ou la vraie vie«