Je me suis donné comme objectif de vous parler de ce qu’est un … objectif, car : « pas d’objectif, pas d’action »
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[Trois fois le mot objectif, c’est vrai que la répétition est pédagogique]
Encore faut-il savoir ce que nous comprenons les uns les autres par « objectif », et préciser ce qu’il recouvre et implique, car ses conséquences sont bien tangibles sur nos vies.
La plupart d’entre nous entendons par « objectif » un but à atteindre, une cible à toucher, un résultat à concrétiser, à rendre réel. Il est alors question d’agir pour le réaliser. Parfois coûte que coûte.
Le mot « objectif » s’invite dans tous les discours
Celui des managers, des dirigeants, des enseignants, des politiques, des thérapeutes, des formateurs, des responsables de tous bords. Ce concept met tout le monde d’accord : « tu remplis tes objectifs et je peux t’évaluer à ta juste mesure ».
Autrement dit, l’objectif constituerait une base objective d’évaluation des performances individuelles et collectives, qui se voudrait équitable. Donc non discutable. Bref, « tu réalises tes objectifs et tout le monde est content ».
Lorsque je fouille dans mes dossiers informatiques, ce mot se retrouve aussi bien dans mes fichiers relatifs aux Techniques de vente, à la Communication interpersonnelle, au métier de Consultant, à la Stratégie d’objectif, aux programmes de formation que j’ai pu établir par le passé, à la Pédagogie par objectif, à la Gestion du temps, etc. Bref, ce mot se trouve partout ! C’est bien ce que je dis : « Pas d’objectif, pas d’action. » Donc je suis bel et bien pour les Objectifs. Mais pas n’importe lesquels ni n’importe comment !
En effet, il ne s’agit pas d’avoir des objectifs coûte que coûte mais des attitudes et des comportements proactifs qui se retrouvent dans les résultats : des objectifs atteints de manière efficace et juste, donc à la manière proactive.
Aussi vais-je tenter de circonscrire ce nom masculin « objectif » et vous proposer une autre façon de penser vos objectifs donc une autre façon de les réaliser…
Commençons par une définition qui devrait nous rendre objectif sur son sens, c’est-à-dire tous d’accord
- Le Petit Larousse nous dit :
Du latin objectus, placé devant (qui a donné l’adjectif objectif, ive) :
– But, cible que quelque chose, quelqu’un doit atteindre. Les objectifs d’une politique.
– En sciences militaires : point, ligne ou zone de terrain à battre par le feu (bombardement) ou à conquérir par le mouvement et le choc (attaque).
– En optique : élément d’un instrument d’optique qui est tourné vers l’objet que l’on veut observer, et qui fournit une image à l’oculaire.
– etc.
- Considérons maintenant Le Petit Robert :
Du latin scolastique objectivus, de objectum : objet.
– But à atteindre. Point contre lequel est dirigée une opération stratégique ou tactique. Les missiles ont atteint leur objectif. Cible.
– Résultat qu’on se propose d’atteindre par une opération militaire.
– But précis que se propose l’action. Dessein, visée.
- Pendant que j’y suis, j’ouvre aussi le Dictionnaire des synonymes :
Objectif (nom masculin) : but, cible, point de mire. Au sens figuré : but, dessein, fin, intention, visées, vues.
Une définition synthétique du mot « objectif »
Un objectif – en tant que nom – est donc un objet palpable, visible (du moins, visualisable s’il est qualitatif et pas seulement quantitatif), placé devant soi et dont le but est de l’atteindre, de le réaliser, de le rendre concret (tel un objet matériel).
Il part d’une pensée, d’une idée abstraite, d’une envie, d’une vue imaginaire qu’il nous faut concrétiser pour qu’il prenne l’appellation d’objectif en tant que but à atteindre.
C’est donc un résultat à réaliser, à rendre réel (du latin res, rei : réel), et non un projet, un rêve ou un vœux pieux.
Pour le rendre concret, il nous faut donc suivre un certain cheminement, mettre en œuvre des moyens, des ressources, plusieurs sortes d’énergies, pour aller du point de départ (la représentation mentale de l’objectif) au point d’arrivée (l’objectif visible dans toute sa splendeur en tant que résultat objectif sous nos yeux). Dans le cas d’un cheminement – des actions inscrites dans un plan, autant dire un plan d’action – il s’agit de définir d’autres types d’objectifs tels que objectifs de ressources, objectifs de moyens et objectifs de résultat.
L’objectif est donc une donnée tangible, extérieure à soi, visible par tout un chacun en tant que résultat à atteindre – ou déjà atteint – sur lequel les personnes peuvent se mettre d’accord, d’autant plus d’accord quand il s’agit de résultats quantifiables à réaliser comme des chiffres commerciaux (X nouveaux clients, Y € de marge bénéficiaire, Z rendez-vous effectués dans le mois, etc.).
L’objectif part donc d’un point de départ – ici et maintenant –
pour arriver à un point d’arrivée – là-bas un peu plus tard.
Un plan d’action démarre donc présentement et aboutit à un objectif futur « devant soi ».
A quoi sert un objectif en général ?
Il sert donc à nous faire avancer, à nous servir de moteur d’action, à donner un sens à notre action, à nous motiver, à nous donner l’impulsion dans une direction, à donner une visibilité au chemin que nous empruntons, à réaliser des buts, à nous faire évoluer, à nous découvrir et nous réaliser tout en cheminant, à nous faire lever le matin, à nous rendre heureux, à nous incarner, à donner un sens à notre vie… A combler un manque entre aujourd’hui et demain. A réduire une tension qui nous motive à agir vers ce fameux but tant convoité.
(Dans cet esprit, un objectif n’est pas, ou ne devrait pas être, un ordre à exécuter, une consigne à suivre, une norme de travail, une cadence à respecter, une prime au rendement, un système d’intéressement collectif…).
Vous constatez que l’objectif est défini comme « un but à atteindre, un résultat à concrétiser » mais qu’il sert surtout à orienter notre action. Il est quelque chose (Quoi ? Le but à atteindre) et il sert à quelque chose (Pour quoi ? Le cheminement, le plaisir du chemin parcouru pour l’atteindre). Dans cette optique, l’objectif nous tire ou nous pousse en avant, selon le degré de plaisir pris à cheminer vers sa réalisation.
Je vous propose maintenant de considérer une autre façon de le penser. Une façon proactive de penser votre objectif – tous vos objectifs.
Nouveau point de départ de l’objectif : son point d’arrivée (!)
Je ne vais pas développer ici la qualité de la formulation d’un objectif qui permet de l’atteindre quasiment à coup sûr. Je ne vais pas non plus préciser toute l’importance de sa formulation et les conséquences d’une mauvaise formulation sur notre subconscient, qui fait qu’un objectif « marche » ou pas.
Ce qui me paraît plus important pour « apprendre à penser autrement », c’est d’envisager l’objectif sous un nouvel éclairage. Il s’agit de le reprendre à la racine en quelque sorte. Sa formulation ensuite en découle. Elle est secondaire.
Vous récolterez les objectifs des graines que vous aurez semées : que semez-vous ?
Si vous semez des graines de haricot, vous récolterez des haricots. Si vous semez des graines de radis, vous récolterez des radis. Mais qu’est-ce qu’une graine de radis ? Ce n’est pas une coquille vide qui aspire à devenir radis. Ce n’est pas non plus une graine de radis qui aspire fortement à devenir haricot. C’est une graine qui contient déjà tout le programme génétique du radis. C’est une graine de radis qui contient déjà toute l’essence du radis. Mise en terre dans les règles de l’art, la nature va opérer et la graine va germer à la faveur des bonnes conditions de pousse du radis.
La graine contient déjà le radis en devenir. Elle contient déjà Qui il est, Qui il va devenir, sereinement et tranquillement.
Et nous, Qui sommes-nous ? Quelle graine sommes-nous au regard de la nature?
Souvent, nous voulons devenir autre que ce pour quoi nous sommes constitués. Nous voulons être radis alors que nous avons l’essence du haricot. Ou nous sommes une coquille vide (croyons-nous) et cherchons à tout prix à nous remplir de ce que nous n’avons pas, de ce que nous ne sommes pas. Alors nous nous assignons des objectifs d’Avoir pour nous remplir de ce qui nous manque. Or, il ne nous manque rien ! Absolument rien. Tout est déjà là en nous, en puissance et en devenir. A nous de nous faire advenir. A nous de réaliser Qui nous sommes vraiment, à nous d’Être avant de Faire !
Nous semons ce que nous sommes déjà : nous agissons toujours à partir de l’Être
En fait, nous projetons à l’extérieur l’essence de nous-mêmes. Que nous en soyons conscients ou pas.
A nous de décider quel objectif « Être » nous voulons développer en nous et autour de nous.
A nous de choisir Qui nous voulons faire apparaître à l’extérieur.
A nous de ressentir à l’intérieur de nous ce que nous voulons semer à l’extérieur.
Et c’est là que la nouvelle conception de l’objectif intervient : ne cherchez plus à joindre l’objectif lointain à atteindre à l’extérieur de vous, celui que vous croyez là devant vous. Partez plutôt de l’objectif que vous portez déjà en vous. Qui est vous. Qui est la personne que vous voulez devenir, parce que vous le portez déjà en puissance en vous. Ne reste qu’à le faire advenir.
– Mais comment pouvez-vous devenir Qui vous voulez être ?
– Comment pouvez-vous vivre ce que vous désirez ardemment vivre ?
– Comment Faire et Avoir ?
En écoutant votre joie intérieure qui jubile lorsque vous êtes dans le vrai, lorsque vous respectez votre essence.
Vous semez ce que vous désirez non pas en le désirant fortement mais en portant déjà en vous l’essence de Qui vous voulez être, et avoir (qui en découle).
Faites Comme si vous étiez déjà (ce que vous voulez être) puisque vous l’êtes déjà en soi
Votre objectif devient : Être et Faire Comme si vous étiez déjà Qui vous voulez être, vivre Comme si vous aviez déjà ce que vous voulez obtenir. En vous comportant comme si vous aviez déjà vendu tel contrat mirifique, en vous comportant comme si vous étiez déjà riche, en vivant comme si vous étiez déjà entouré d’amis précieux et sincères, en incarnant Qui vous êtes parce que vous l’êtes déjà en essence. Rappelez-vous le haricot qui est déjà lui-même, même si les apparences sont trompeuses.
Ne savons-nous pas pourtant que l’apparence de la graine est en contradiction avec sa vraie nature ? Si vous soumettez une graine à une analyse chimique, vous y trouverez peut-être du carbone, des protéines, et bien autre chose, mais jamais l’idée d’un arbre feuillu. Rabindranath Tagore.
Changement de point de vue pour atteindre vos vrais objectifs
Il ne s’agit plus d’énoncer des objectifs en fonction de qui nous croyons être présentement, avec nos limites, nos doutes actuels sur nos possibilités et nos ressources disponibles en ce moment-même.
Il s’agit de nous fixer des buts qui nous font vibrer, qui nous rendent vivants, ceux qui nous font vivre « nous en mieux ». Il s’agit de viser des objectifs qui nous mettent en situation projetée de nous au mieux de notre forme et de notre bien-être.
Je ne suis pas en train de dire qu’il faut vivre dans le futur, fuir le présent et imaginer sa vie en imagination. Non ! Il s’agit de ramener nos objectifs dans notre présent. Nous faire une représentation de Qui nous voulons être, ce que nous souhaitons vivre et ressentir : « je suis heureux (et je ressens effectivement dans mon corps tout le bien-être possible) ; je suis déjà bien dans ma vie (et je ressens effectivement émotionnellement ce bien-être et cette sérénité dans ma chair) ; je me vois vivre dans telle région (au bord de la mer, les pieds dans l’eau, et je vois effectivement mon jardin attenant à une immense plage des Landes, avec le bruit des marées montantes et descendantes, avec l’odeur des embruns qui me chatouillent les narines pendant que je tape sur le clavier de mon ordinateur… ) ; je me vois occuper tel poste avec telles responsabilités ; je me vois dans tel pays à faire telle chose ; etc. Et surtout, je suis bien ! Je ressens le bien-être dans mon corps grâce à mon imagination.
Oui, nous envisager à un an (et plus) dans LA situation rêvée (voir l’article Être fidèle à soi-même sans jamais trahir les autres), dans LE bien-être, normal et équilibré comme il se doit pour une personne fidèle à ses valeurs, à ses envies, à ses rêves, à son essence.
Il ne s’agit plus de se penser avec ses ressources de maintenant (forcément limitées) mais de se visualiser – se voir, se penser, se ressentir, se projeter, s’imaginer – dans la situation future, tellement désirée que la question des ressources ne se pose plus.
La question des ressources ne se pose plus
La question des ressources disponibles ne se posent plus parce que vous ne vous pensez plus à partir de ce que vous êtes aujourd’hui mais à partir de qui vous êtes demain, avec des ressources supplémentaires (celles qui vous font défaut présentement), les nouvelles ressources que vous aurez acquis chemin faisant. Car je doute que vous serez exactement la même personne aujourd’hui et dans un an. Je doute que vous penserez exactement la même chose d’une situation aujourd’hui et dans six mois. Alors ? Alors pourquoi rester figer sur des objectifs définis avec une mentalité d’aujourd’hui ? Surtout lorsque vos objectifs, conçus par une mentalité de maintenant et des moyens actuels, une fois atteints dans le futur, correspondront à une ancienne façon de voir les choses puisque vous aurez évolué entre la formulation de vos objectifs et leur réalisation !
Vous aurez grandi, vos désirs aussi. Une fois vos objectifs atteints, vous regretterez même de ne pas les avoir envisagés plus ambitieux. Alors envisagez votre situation dans un an avec l’état d’esprit que vous vous imaginez avoir dans un an ! Vous pouvez rétorquer que vous ne savez pas comment vous serez dans un an. Et oui. Vous ne savez pas en fait mais vous pouvez l’imaginer en pensée. Votre imagination est là pour ça. Branchez-vous sur votre hémisphère droit plutôt que sur votre hémisphère gauche, trop « raisonnable raisonnant ».
Pour ce faire, il est important de ressentir votre idéal de vie dans vos tripes comme s’il était déjà atteint, comme si vous y étiez déjà. Votre cerveau n’y voit que du feu, il ne fait pas la différence entre la vraie vie et l’imagination alors ne vous privez pas de solliciter votre radar intérieur (votre Formation réticulée) qui sélectionne l’information utile à vos buts parmi les milliards de signaux que capte votre inconscient à votre insu, et vous oriente vers les bonnes personnes / situations / informations / opportunités… (vous reconnaissez – peut-être – l’attitude proactive, l’état d’esprit proactif, très différent du mode de pensée habituel, lequel est dépassé pour entrer dans le nouveau Paradigme).
Visualisez-vous Comme si…
Comme si vous aviez déjà concrétisé vos désirs et vos objectifs, comme si vous étiez arrivé au but. Car concevoir une situation future avec un état d’esprit d’aujourd’hui, c’est prendre le risque d’être déçu dans le futur puisque l’objectif formulé un an plus tôt vous limitera dans votre potentiel qui est bien plus vaste que ce que vous pouvez imaginer de vous-même. Alors « calculez-vous » avec votre potentiel et votre imagination et non avec votre raison qui voit les situations et les choses avec ses moyens d’aujourd’hui.
« On ne peut pas changer une situation avec l’état d’esprit qui l’a engendrée » comme on ne peut pas atteindre de grands rêves avec une mentalité étroite et timorée. Voyez grand, débridez votre imagination, osez vous penser « loin » : Qui vous voulez être vraiment, ce que vous voulez faire vraiment, ce que vous voulez ressentir de joie et de bien-être. (la joie me semble être notre raison d’être et ce que nous faisons n’est que prétexte pour la ressentir et faire l’expérience de nous-mêmes).
Vibrez comme si vous y étiez déjà. Parce que vous y êtes déjà
Les ressources nécessaires à la réalisation de vos objectifs deviennent secondaires dans la formulation de vos objectifs. Il ne s’agit plus d’envisager le Comment y arriver car la nature, la vie va vous présenter les opportunités, les informations, les personnes qui entrent en résonance avec votre longueur d’onde, avec votre taux de vibration. Mettez-vous à l’écoute de la vie, de ses signes, des « hasards » qu’elle vous présente. Accueillez ce qu’elle vous apporte.
Alignez-vous sur votre véritable objectif, vous en puissance, vous en devenir, vous en version panoramique, celui ou celle que vous portez déjà en vous avec passion, celui ou celle qui vous fait Être totalement en cohérence avec vous-même, et vous rend vivant et joyeux (la joie vous habite, vous la ressentez quelque part en vous, quand bien même vous avez des situations épineuses à résoudre qui vous mettent mal à l’aise par ailleurs, quelque part ailleurs en vous. Les deux ressentis cohabitent mais à des niveaux différents. L’un n’empêche pas l’autre).
Imaginez-vous au mieux de votre bien-être : adoptez une attitude proactive
– Qu’est-ce qui vous fait vraiment plaisir ? Qu’est-ce qui vous ferait vraiment du bien ?
– Qu’est-ce qui vous rend vivant ?
– Qu’est-ce qui suscite la joie en vous ?
Ecoutez-vous, écoutez la vie en vous, elle répond toujours puisqu’elle est déjà là en vous.
Dites OUI à la vie. Parce que la vie vous attend : elle vous a donné tout le matériel génétique, émotionnel, spirituel… apte à épanouir votre plein potentiel, propre à votre nature profonde.
La graine de haricot est un haricot en puissance. L’être humain est un Être en puissance, une conscience douée de libre-arbitre et d’imagination…
Je n’ai pas tout dit à propos de l’objectif… J’ai dit l’essentiel quant à ce à quoi ressemble un objectif dans le Nouveau Paradigme :
– partir de notre Être (Être –> Avoir –> Faire – ou Être –> Faire –> Avoir. L’état d’Être prime) ;
– ressentir en soi les émotions de satisfaction, de joie, de plaisir comme si nous étions déjà arrivés, déjà heureux, déjà comblés ;
– accueillir alors les moyens, les aides, les ressources qui vont affluer vers nous pour nous soutenir dans la réalisation de nos objectifs ;
– se brancher sur ses sensations, ses intuitions, sa petite voix, ses convictions irrationnelles intérieures… ;
– adopter une attitude proactive pour savoir saisir ces ressources qui viennent à nous (c’est cela aussi « être chanceux ») ;
– agir à partir de cet état d’être ;
– réajuster ses pensées, ses objectifs, s’adapter au mouvement de la vie qui coule en nous et autour de nous et suivre ce mouvement (« seule l’impermanence est permanente ») ;
– toujours se remettre en question pour saisir le moment juste et agir avec justesse.
Notre vie devient fluide ; nous gagnons en force morale, en confiance, en sécurité intérieure et en joie de vivre. Nous sommes vivants. C’est bien cela finalement la finalité de notre existence : vivre ! (ni vivoter, ni survivre)
Ce n’est que du bonheur de devenir proactif !
Je vous souhaite le meilleur
Consultante, Formatrice,
Conférencière, Auteure
Ouvrage : « A Quoi pense une Professionnelle de la Formation en train d’animer un Stage ?«
Roman : « toi ou la vraie vie »
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c’est du chamanisme … c’est comme ça qu’ils font venir la pluie … après avoir exprimé leur gratitude pour le soleil … en la ressentant physiquement et émotionnellement comme si elle était déjà là, à les mouiller, devenons des chamans acteurs de notre réalité !
Merci chère Mylady pour votre commentaire !
Je ne me risquerai pas à comparer mon article avec le chamanisme (cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/Chamanisme). Ceci dit, je suis d’accord avec le fait que nous (re)devenions acteur de notre vie. Et même réalisateur et producteur, par nos choix éclairés, réfléchis, conscients. Nous sommes doués de capacités « magiques » si nous considérons notre pouvoir de détruire la Planète… alors en effet nous devrions aussi être capables (et nous le sommes effectivement) d’inverser la tendance et nous faire un monde meilleur 🙂
Excellente journée à vous !